SURVEILLANCE DU MINEUR

VOUS ÊTES INQUIETS POUR VOTRE ENFANT ?

Tous les parents veulent que leurs enfants soient heureux, en bonne santé et promis à un avenir radieux.

Pour cela, l’article 371-1 du Code Civil leur donne pour mission d’assurer à leurs enfants sécurité, santé, moralité et éducation, mais cela n’est pas toujours évident. En grandissant, les enfants traversent plusieurs phases durant lesquelles ils sont plus ou moins distants et ils multiplient les expériences, parfois dangereuses.

Il peut donc parfois s’avérer nécessaire d’effectuer une surveillance des activités de votre enfant pour vérifier qu’il n’est pas en danger ou qu’il ne s’égare pas lui-même hors du droit chemin en se mettant dans des situations dont les conséquences peuvent être désastreuses.

Il ne s’agit pas d’anéantir la vie privée du mineur, mais de vous permettre d’être en parfaite connaissances des difficultés qu’il peut traverser afin que vous puissiez assurer au mieux votre rôle de parent qui est de le protéger et de l’orienter.

MAUVAISES FRÉQUENTATIONS

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Il n’est pas rare d’avoir des appréhensions sur les fréquentations de son enfant et leurs mauvaises influences. Ce n’est parfois qu’une impression, mais tout est question de proportionnalité. Quand votre alarme de parent est trop forte, il est temps de vérifier ses doutes.

Ces mauvaises fréquentations qui peuvent vous pousser à agir sont diverses :

  • Des délinquants qui pourraient pousser votre enfant à effectuer des actes délictueux.
  • Des personnes ayant une emprise mentale sur votre enfant et que vous suspectez de vouloir l’intégrer dans une secte ou le radicaliser
  • D’autres mineurs perdus qui risquent d’entrainer votre enfant dans un cycle infernal d’alcool, de drogues et d’absentéisme à l’école

Les informations que nous recueillerons vous permettrons de calmer vos soupçons ou de disposer des éléments pour prendre les bonnes décisions.

CONSOMMATION D'ALCOOLS ET DE DROGUES

L’alcool et les drogues ont des conséquences dramatiques sur le comportement et les fonctions cognitives. Cela est d’autant plus vrai lorsque le consommateur est un adolescent dont le cerveau en construction est plus fragile que celui des adultes. Sans aborder les problèmes de santé qui sont nombreux, la consommation de ces substances est nuisible à plusieurs niveaux :

  • Cela altère les capacités d’apprentissage et la mémoire.
  • Cela multiplie les chances d’être impliqué dans une altercation violente, des relations sexuelles à risque ou des accidents de la route.

La consommation précoce d’alcool perturbe l’autorégulation des émotions, accroît les comportements délinquants et augmente très fortement le risque d’une future consommation de drogue. Pourtant, 35% des français ont déjà été ivre avant même d’arriver au lycée.

Le cannabis est largement en tête parmi les drogues consommées par les jeunes puisque 41,5% des moins de 17 ans en ont déjà pris et 6,5% de façon régulière. Outre les problèmes évoqués plut tôt, la consommation régulière de cannabis diminuent l’intérêt et l’ambition du sujet avec des conséquences immédiates sur le rendement scolaire.

Les drogues dites « dures » ajoutent à tout cela, les problèmes de dépendance, de manque (dépression, paranoïa…), mais aussi de « qualité » (une drogue trouvée dans la rue peut être coupée avec n’importe quoi et causer de graves problèmes de santé). Ces drogues sont moins présentes chez les jeunes, mais elles ne sont pas absentes pour autant (chez les moins de 17 ans, 3% de consommateur de cocaïne, 1% d’héroïne, 2% de produits de synthèses tels que l’ecstasy).

Dans un cercle vicieux, la drogue est également l’un des éléments qui peut pousser votre enfant à avoir de mauvaises fréquentations et à effectuer des actes illégaux pour rapidement obtenir l’argent lui permettant d’assouvir son addiction.

Il peut être utile, voire primordial, de connaitre les mauvaises addictions de votre enfant pour agir à temps.

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HARCÈLEMENT SCOLAIRE

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Dès lors que votre enfant est scolarisé, il passe beaucoup plus de temps à l’extérieur avec d’autres enfants qu’avec vous.  Cela ne se passe pas toujours bien car nous savons tous à quel point les enfants peuvent être cruels entre eux. Certains diront que c’est l’apprentissage de la vie, que cela forge le caractère… il y a toutefois des limites à ne pas dépasser !

Si des violences physiques (bousculade, coups, racket…) ou morales (surnoms méchants, fausses rumeurs, insultes, moqueries…) sont d’une intensité trop importante ou que cela se répète très régulièrement, il s’agit d’un véritable harcèlement scolaire.

Peu d’enfants en parlent à leurs parents, mais ce phénomène est courant puisqu’on estime qu’un élève sur 10 est concerné, soit 700 000 mineurs, principalement en fin d’école primaire et au collège. Bien plus parlant que les chiffres, remémorez-vous simplement votre période scolaire. Vous avez très certainement était auteur (erreur de jeunesse), témoin ou victime de harcèlements.

Si vous pensez que votre enfant est harcelé, il faut agir car les conséquences peuvent être très graves :

  • Résultats scolaires en chute libre et désintérêt total pour l’école.
  • Perte de confiance en soi donnant lieu à des personnalités très effacées.
  • Dépression qui peut, dans le pire des cas, conduire au suicide.

Nous pouvons vérifier que les autres enfants ne harcèlent pas votre fille ou votre fils à la sortie de l’école ou durant toutes les activités ou vous n’êtes pas avec eux. En cas de problème, l’identifications des harceleurs sera une première étape vers le retour au bien-être pour votre enfant.

CYBER HARCÈLEMENT

Auparavant, si un mineur était harcelé à l’école, il pouvait au moins être en sécurité lorsqu’il était chez vous, en votre compagnie, mais ce havre de paix n’existe plus. Les téléphones portables, les applications, internet et les réseaux sociaux transposent ce danger à la maison ou dans la poche de votre enfant 24h/24.

En effet, tout comme le harcèlement scolaire, les réseaux sociaux permettent à d’autres enfants d’humilier votre fille ou votre fils devant tous les autres élèves abonnés à ce réseau et cela sans que vous soyez au courant.

Ce type de comportement est en forte augmentation avec 40% des élèves qui déclarent avoir subi une agression en ligne et 12,5% qui signalent être victime de cyber-harcèlement.

Le harcèlement cause de la dépression, de l’isolement et, étant harcelé tant à l’école qu’à la maison, votre enfant pourrait ne plus voir d’issues possibles.

3 à 4 adolescents victimes de cyber-harcèlement se suicident chaque année en France.

Il faut agir avant que le mal-être ne soit trop grand.

Nous pouvons vous aider à faire disparaître ces contenus qui perturbent votre enfant et identifier les auteurs du harcèlement afin d’engager les démarches pour le faire cesser.

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